L'homme qui voulait être heureux : Rencontre avec un guérisseur balinais
L'homme qui voulait être heureux : Une initiation avec un balian
Quelle ne fût pas ma surprise en lisant ce livre, de me rendre compte qu'il véhiculait beaucoup de messages que je cherche à faire passer, un livre qui parle d'une rencontre avec un guérisseur balinais, alors qu'il y a un peu de temps, je suis parti pour la première fois à la Bali, à la rencontre des balians, les guérisseurs balinais. Une belle synchronicité :)
Voici quelques phrases extraites du livre qui résonent en moi, je vous laisse avec ces belles paroles...
Quand on croit quelque chose sur soi, que ce soit en positif ou en négatif, on se comporte d'une manière qui reflète cette chose. On la démontre aux autres en
permanence, et même si c'était à l'origine une création de l'esprit, cela devient la réalité pour les autres, puis pour soi.
Quand on est convaincu d'une chose, elle devient la réalité, notre réalité.
Si des parents sont convaincus que leur enfant est beau et intelligent, et le lui répètent sans cesse, alors il y a des chances que l'enfant se voie ainsi et devienne très sûr de lui.
c'est surtout pendant l'enfance que se forgent la plupart des croyances que l'on a sur soi, mais on peut aussi en développer plus tard, même à l'âge adulte. Mais, dans ce cas, elles seront en général issues d'expériences très fortes sur le plan émotionnel.
Les Balinais vivent dans le sacré. Leur religion ne repose pas sur une pratique codifiée heure fixe, ou certains jours de la semaine. Non, eux sont en contact direct avec les dieux. Ils semblent imbibés de leur foi, habités par elle en permanence. Toujours calmes, doux, souriants, ils sont sans doute, avec les Mauriciens, le peuple le plus gentil de la terre. D'humeur constante, on a l’impression que rien ne peut les déstabiliser. Ils accueillent avec la même sérénité tout ce qui leur arrive.
Nos croyances vont nous amener à filtrer la réalité, c'est-à-dire à filtrer ce que l'on voit, entend et ressent
Imaginons que vous soyez inconsciemment convaincu que le
monde est dangereux, et qu'il faut s'en méfier, se protéger. Si cette croyance est inscrite en vous, alors, d'après vous, sur quoi
va se porter votre attention à l'instant présent ?
j'imagine que je commencerais par me méfier un peu de vous, puisque, après tout, je ne vous
connais pas ! Je crois que j'observerais surtout votre visage pour essayer de lire vos pensées, de comprendre ce qu'il y a peut-être
derrière vos paroles gentilles. Et je tenterais aussi de repérer d'éventuelles incohérences dans votre discours, pour savoir si vous
êtes fiable ou pas.
Et puis, je garderais un oeil sur la porte du jardin pour m'assurer qu'elle reste ouverte et que je pourrais partir
facilement s'il y avait un problème. peut-être ferais-je aussi attention à cette poutre qui a l'air de tenir par l'opération du Saint-Esprit et qui pourrait me tomber dessus.
Et je garderais un oeil sur le gecko que j'entends se balader entre les outres, car j'aurais peur qu'il descende me mordre.
Je me méfierais de ce genre de reptiles.
Je remarquerais aussi que la natte est usée, et que je pourrais attraper des échardes si je n'y prenais pas garde.
C'est cela. Votre attention serait captée par les risques potentiels qui existent dans toute situation.
Maintenant, imaginez que vous ayez une croyance opposée, à savoir que le monde est amical, que les gens sont gentils, honnêtes et fiables, et que la vie offre quantité de plaisirs bons à prendre.
Faites comme si cette conviction était profondément enfouie en vous.
Sur quoi se porterait votre attention, en ce moment, et que pourriez- vous décrire, les yeux fermés et les oreilles bouchées ?
Je crois que je parlerais des plantes, qui sont vraiment très belles, de ce petit vent agréable qui rend la chaleur supportable.
Je crois que je parlerais aussi du gecko, car je me serais dit : « Cool, il y a un gecko sous la toiture, au moins, il ne doit pas rester d'insectes rampants dans les parages ! »
Et puis, je décrirais le visage serein de cet homme sympathique qui me fait découvrir des tas de choses intéressantes sans même me faire payer !
Exactement !
Ce que l'on croit de la réalité, du monde environnant, agit comme un filtre, comme une paire de lunettes sélective qui nous amène à surtout voir les détails allant dans le sens de ce que nous croyons...
Si bien que cela renforce nos croyances.
Si l'on croit que le monde est dangereux, on va effectivement porter son attention sur tous les dangers réels ou potentiels, et on aura de plus en plus le sentiment de vivre dans un monde dangereux.
Vos croyances vont vous aider à trouver une interprétation un sourire sera perçu comme un signe d'amitié, de gentillesse, de séduction, ou d'ironie, de moquerie, de condescendance.
Un regard insistant, comme un signe marqué d'intérêt ou, à l'inverse, comme une menace, une volonté de déstabilisation.
Et chacun sera convaincu de son interprétation.
Ce que vous croyez sur le monde vous conduit à donner un sens à tout ce qui est ambigu ou incertain...
Et cela renforce vos croyances. Une fois de plus.
Quand vous croyez une chose, elle vous amène à adopter certains comportements, lesquels vont avoir un effet sur le comportement des autres dans un sens qui va, là encore, renforcer ce que vous croyez.
C'est simple. Restons dans le même cas de figure : vous êtes
convaincu que le monde est dangereux, qu'il faut se méfier.
Comment allez-vous vous comporter quand vous rencontrerez des gens nouveaux ?
Je vais rester sur mes gardes.
Oui, et votre visage sera vraisemblablement assez fermé, pas très engageant.
Mais ces personnes qui vous rencontrent pour la première fois vont le percevoir, le sentir. Comment vont-elles elles-mêmes se comporter vis-à-vis de vous ?
Il y a, en effet, des chances pour qu'elles restent sur leurs gardes et ne s'ouvrent guère à moi.
Exactement ! Sauf que, vous, vous allez le voir; vous allez sentir qu'elles sont fermées, un peu bizarres avec vous. Devinez comment
vous allez l'interpréter, sous l'emprise de vos croyances. Je vais évidemment me dire que j'ai raison de me méfier.
Vos croyances se renforceront. C'est terrible.
Mais cela marche aussi dans l'exemple inverse si vous êtes, au fond de vous, convaincu que tout le monde est sympathique, vous allez vous comporter de manière très ouverte avec les gens, vous allez sourire, vous montrer détendu. Et, bien sûr,cela va les conduire à s'ouvrir eux-mêmes, à se détendre en votre présence. Vous aurez inconsciemment la preuve que le monde est bien sympathique. Votre croyance se renforcera. Mais il faut comprendre que tout ce processus est inconscient. C'est en cela qu'il est puissant. A aucun moment, vous ne vous direz consciemment : «
C'est bien ce que je croyais, les gens sont sympathiques.»
Non.
Vous n'aurez pas besoin de vous le dire, parce que, pour vous, c'est normal. C'est ainsi, les gens sont sympathiques, c'est une évidence.
De la même manière, ceux qui croient qu'il faut à tout prix se méfier des autres trouvent naturel de rencontrer des gens fermés, désagréables, même sils le déplorent par ailleurs.
C'est dingue. Finalement, sans s'en rendre compte, chacun se crée vraiment sa propre réalité, qui n'est, en fait, que le fruit de ses croyances.
C'est vraiment dingue. Hallucinant !
J'avais le sentiment que les êtres humains étaient victimes de leurs propres idées, de leurs propres convictions, de leurs propres « croyances », pour reprendre son terme. Le plus terrible, peut-être, était qu'ils ne s'en rendaient pas compte. Et pour cause: ils ne se rendaient même pas compte qu'ils croyaient ce qu'ils croyaient. Leurs croyances n'étaient pas consciemment dans leur esprit. J'avais envie de le crier à la terre entière, d'expliquer aux gens qu'il fallait arrêter de croire n'importe quoi, je voulais leur dire qu'ils se pourrissaient la vie à cause de choses qui n'étaient même pas la réalité.
Nous avons tous développé des croyances sur nous, sur les autres, sur nos relations aux autres, sur le monde qui nous entoure, sur à peu près tout, depuis notre capacité de réussir nos études jusqu'à l'éducation de nos enfants, en passant par notre évolution professionnelle et nos relations conjugales. Chacun de nous porte en lui une constellation de croyances. Elles sont innombrables et dirigent notre vie.
Il est pertinent de prendre conscience de ce que l'on croit, puis de se rendre compte que ce ne sont que des croyances, et enfin de découvrir leurs effets sur notre vie. Cela peut nous aider à comprendre bien des choses que nous vivons...
C'était extraordinaire : en quelques mots seulement, chacun avait résumé toute sa vision de la vie.
La dernière pièce du puzzle hollandais se mettait en place, donnant du sens à l'ensemble des scènes dont j'avais été le témoin.
Je comprenais maitenant pourquoi Claudia acceptait le rôle de ménagère imposé par son mari elle avait juste tiré le mauvais numéro.
Quand on a perdu, on a perdu, il n'y a rien à faire. On n'argumente pas quand on perd au casino ou au loto.
Les choses sont comme elles sont, il ne sert à rien de vouloir les changer.
Quant à Hans, je comprenais mieux son obsession de l'action et son incapacité à s'accorder des instants de détente.
Tous ceux qui ont guéri étaient au préalable absolument convaincus que leur traitement allait les guérir.
Ils avaient une confiance totale en leurs médecins et dans le choix du traitement.
Pour eux, là guérison allait de soi.
Ce n'est pas le message qui peut vexer, mais la façon de le transmettre, de le formuler. Si on y met la forme, par exemple en remerciant l'autre pour son intention positive, on ne le vexe pas. Ou sinon, c'est qu'il est particulièrement susceptible, et alors c'est, d'une certaine manière, son problème, pas le vôtre.
Quand vous ne dites pas la vérité aux gens, vous leur fournissez la tentation de contourner vos arguments, ce qui vous amène à mentir de nouveau. C'est d'ailleurs ce qui s'est passé. Au bout du compte, vous vous retrouvez contraint de faire quelque chose contre votre volonté, tel que manger un mets que vous n'aimez pas ... Vous êtes donc doublement pénalisé.
Doublement ?
Oui, parce que mentir est avant tout mauvais pour soi. Un peu
comme si cela générait une énergie négative que l'on accumulerait en soi. Essayez la vérité: vous verrez, c'est libérateur, et on se sent beaucoup plus léger d'un seul coup.
Si c'était vous, vous n'aideriez pas quelqu'un qui vient vous demander conseil sur votre métier ?
Si, si, bien sûr.
De quoi avez-vous peur, alors ? Me demanda-t-il avec une infinie douceur.
- J'ai peur de me faire rembarrer, donc je préfère ne pas prendre le risque.
Votre peur provient d'une confusion, d'un amalgame entre le rejet d'une demande et le rejet d'une personne. Ce n'est pas parce que l'on décline une requête de votre part que l'on ne vous aime pas ou que l'on n'a pas de considération pour vous.
La plupart de nos peurs sont des créations de notre esprit.
Vous ne le comprenez probablement pas, mais savoir se tourner vers les autres pour leur demander quelque chose est fondamental.
Tous les gens qui réussissent leur vie ont cette compétence.
On ne fait pas grand-chose dans la vie si on ne sait pas aller vers les autres et demander un soutien, un appui, de l'aide, des conseils, des contacts.
Les bébés ont énormément de choses à nous apprendre.
Regardez un enfant qui apprend à marcher: vous croyez qu'il réussit du premier coup ?
Il tente de se redresser et hop ! il tombe.
C'est un échec cuisant, et pourtant il recommence immédiatement.
Il se redresse à nouveau et... Il retombe !
Un bébé va tomber en moyenne deux mille fois avant de savoir marcher
vous êtes en train de me dire que je me suis encore une fois bâti une bonne petite croyance limitante sur la base d'un insuccès.
Suivre sa voie afin de pouvoir ensuite se réaliser pleinement, c'est parfois comme de gravir une montagne : tant qu'on ne l'a pas fait, on ignore que les efforts que cela exige accentuent la satisfaction que l'on ressent à l'arrivée. Plus les efforts sont grands, plus intense sera le bonheur, et plus longtemps il restera gravé en nous.
Les personnes qui ont peur du rejet, reprit-il, sont très loin de savoir qu'il est rare d'être repoussé par les autres.
C'est même presque difficile à obtenir. Les gens sont, dans l'ensemble, plutôt enclins à vous aider, à ne pas vous décevoir, à aller dans le sens de ce que vous attendez d'eux. C'est précisément lorsque l'on craint d'être rejeté que l'on finit par l'être, suivant le mécanisme des croyances que vous avez maintenant appris à connaître.
Quand on apprend à aller vers les autres pour leur demander ce dont on a besoin, c'est tout un univers qui s'offre à nous.
La vie, c'est s'ouvrir aux autres, pas se refermer sur soi.
Tout ce qui permet de se connecter aux autres est positif.
Si on aime les gens seulement quand ils se comportent conformément à nos idéaux, ce n'est pas de l'amour. ..
C'est pour cela que je crois que vous n'avez rien à craindre de la part de ceux qui vous aiment.
Même au sein d'une famille aimante, chacun doit vivre sa vie.
C'est bien de prendre en considération les effets de ce que l'on fait sur les autres afin de ne pas leur nuire, en revanche, on ne peut pas toujours tenir compte de leurs souhaits, et encore moins de la façon dont ils vont apprécier vos actions.
Chacun est responsable de sa propre appréciation. Vous n'êtes pas responsable des opinions d'autrui.
Quand on raisonne par groupes, par ensembles, par camps, on fait abstraction des particularités, de la valeur et de l'apport de chaque individu, et on tombe facilement dans le simplisme et la généralisation.
On parle des travailleurs, des fonctionnaires, des scientifiques, des paysans, des artistes, des immigrés, des bourgeois, des femmes au foyer.
On bâtit des théories qui servent nos croyances.
Et non seulement la plupart de ces théories sont fausses, mais elles poussent les gens à devenir ce que la théorie dit qu'ils sont.
On fait un grand pas dans la vie quand on cesse de généraliser ce qui concerne les autres, et que l'on considère chacun individuellement, même s'il fait de toute façon partie d'un tout qui le dépasse, l'humanité et, même au-delà, l'univers.
L'une m'a dit que la profession était sûrement fermée et que je n'arriverais pas à y faire ma place en débarquant comme ça, sans diplômes ni relations.
L'autre m'a objecté qu'on ne montait pas ce genre d'activité du jour au lendemain en démarrant sans clientèle, et que je n'avais pratiquement aucune chance de réussir.
Quand vous parlez d'un projet autour de vous, vous recevez trois types de réactions : les neutres, les réactions d'encouragement et les réactions négatives qui tendent à vous faire renoncer.
Il faut à tout prix vous éloigner des personnes dont vous sentez qu'elles pourraient vous décourager. En tout cas, ne leur confiez pas vos projets.
Par exemple, il y a des gens qui se sentent mieux quand vous allez mal, et qui font donc tout pour que vous n'alliez pas mieux ! Ou d'autres qui détesteraient vous voir réaliser vos rêves car cela leur rappellerait leur absence de courage pour réaliser les leurs. Il existe aussi des gens qui se sentent valorisés par vos difficultés parce que cela leur donne l'occasion de vous aider.
Dans ce cas, les projets qui viennent de vous leur coupent l'herbe sous le pied, et ils feront ce qu'ils peuvent pour vous en dissuader.
Cela né sert à rien de leur en vouloir car ils font cela inconsciemment.
Mais il est préférable de ne pas leur confier vos plans. Ils vous feraient perdre votre confiance en vous.
C'est pour cela qu'il convient de vous éloigner de ces personnes-là ou de ne pas leur parler de vos projets. Sinon, vous rejoindrez les millions de gens qui n'ont pas la vie qu'ils désiraient.
En revanche, il est très positif d'avoir dans votre entourage une ou deux personnes qui croient en vous.
Quand on se lance dans un projet qui représente un certain enjeu, par exemple quand on aspire à changer de métier, on passe forcément par des hauts et des bas.
On y croit, on en a envie, et puis, d'un seul coup, on a des doutes, on n'y croit plus, on ne se sent plus capable, on a peur du changement, de l'inconnu. Si l'on est seul dans ces moments-là, il y a de fortes chances que l'on renonce, que l'on abandonne.
S'il y a dans votre entourage une personne qui croit en vou, qui croit en votre capacité de réussir votre projet et vous le fait sentir quand vous la voyez, cela balayera vos doutes, et vos peurs §'effaceront comme par magie.
La confiance en vous que cette personne vous témoignera sera contagieuse.
Elle vous insufflera la force de réussir et vous donnera l'énergie de déplacer des montagnes.
On est quinze fois plus fort quand on n'est plus seul avec son projet. Mais comprenez-moi bien: il n'est pas nécessaire que cette personne vous aide ou vous donne des conseils.
Non, ce qui compte avant tout, c'est juste qu'elle croie en vous.
Moi qui suis maintenant au seuil de ma vie, je deviens convaincu que l'amour est la solution à la plupart des problèmes que rencontrent les êtres humains dans leur vie.
Cela peut sembler une idée simple, convenue, et pourtant pratiquement personne ne la met en œuvre, car il est souvent difficile d'aimer.
Certains sont méchants car ils ne s'aiment pas eux-mêmes. D'autres sont pénibles parce qu'ils ont beaucoup souffert et veulent le faire payer à la terre entière. Quelques-uns, parce qu'ils se sont fait avoir par des gens et croient se protéger par une attitude désagréable.
Certains ont été tellement déçus par les autres qu'ils ont refermé leur cœur en se disant qu'ils ne seraient plus déçus à l'avenir s'ils n'attendaient plus rien des autres. D'autres sont égoïstes car ils sont persuadés que tout le monde l'est, et ils croient alors qu'ils seront plus heureux s'ils passent avant les autres.
Le point commun entre
tous ces gens est que, si vous les aimez, vous les surprenez, car ils ne s'y attendent pas.
La plupart, d'ailleurs, refuseront d'y croire au début, tellement cela leur semble anormal.
Mais si vous persévérez et le leur démontrez, par exemple dans des actes gratuits, cela peut bouleverser leur façon de voir le monde et, accessoirement, leurs relations avec vous.
Pour pouvoir aimer une telle personne, distinguez-la de ses actes.
Dites-vous que, malgré son attitude détestable, il y a quelque part, au fond d'elle, peut-être très enfoui et sans qu'elle le sache elle-même, quelque chose de bien.
Si vous parvenez à percevoir ce quelque chose et que vous l'aimez, vous amènerez cette personne à entrer en contact avec cette petite part d'elle-même.
Vous savez, l'amour est la meilleure façon d'obtenir un changement chez l'autre. Si vous allez vers quelqu'un en lui reprochant ce qu'il a fait, vous le poussez à camper sur sa position et à ne pas écouter vos arguments. Se sentant rejeté, il rejettera vos idées. Si, à l'inverse, vous allez vers lui en étant convaincu que, même si ce qu'il a fait ou dit est désastreux, il est, au fond de lui, quelqu'un de bien et qu'il avait une intention positive en le faisant, vous l'amenez à se détendre et à s'ouvrir à ce que vous voulez lui dire. C'est la seule façon de lui offrir une chance de changer.
Mais il est vrai que les gens ont tendance à se comporter selon la façon dont on les voit, à s'identifier à ce que l'on perçoit en eux.
Il faut comprendre que chacun de nous a des qualités et des défauts; ce sur quoi l'on focalise son attention a tendance à prendre de l'ampleur, à s'étendre.
Si vous braquez les projecteurs sur les qualités d'une personne, même si elles sont infimes, elles s'accentueront, se développeront jusqu'à devenir prépondérantes.
D'où l'importance d'avoir dans votre entourage des gens qui croient en vous, en vos qualités et en vos capacités.
Si l'on utilise l'argent gagné pour donner à d'autres la possibilité d'exprimer leurs talents, leurs compétences, en faisant appel à leurs services, alors l'argent produit une énergie positive.
À l'inverse, si l'on se contente d'accumuler des biens matériels, alors la vie se vide de son sens.
On se dessèche petit à petit. Regardez autour de vous: les personnes qui ont passé leur vie à accumuler sans rien donner sont déconnectées des autres.
Elles n'ont plus de vraies relations humaines.
Elles ne sont plus capables de s'intéresser sincèrement à une 'personne, ni d'aimer.
Et, croyez-moi, quand on en arrive là, on n'est pas heureux !
Une vie réussie est une vie que l'on a menée conformément à ses souhaits, en agissant toujours en accord avec ses valeurs, en donnant le meilleur de soi-même dans ce que l'on fait, en restant en harmonie avec qui l'on est, et, si possible, une vie qui nous a donné l'occasion de nous dépasser, de nous consacrer à autre chose qu'à nous-mêmes et d'apporter quelque chose à l'humanité, même très humblement, même si c'est infime.
Oui, c'est l'une des clés du bonheur. Vous savez, l'être humain se complaît dans le laisser-aller, mais s'épanouit dans l'exigence de soi.
C'est vraiment en étant concentré sur ce que l'on fait pour réussir la mise en oeuvre de nos compétences, et en relevant chaque fois de nouveaux défis, que l'on se sent heureux. C'est vrai pour tout le monde, quels que soient notre métier ou le niveau de nos compétences. Et notre bonheur est accru si notre travail apporte quelque chose aux autres, même indirectement, même de façon modeste.
Vous savez, reprit-il, on ne peut pas être heureux si l'on se voit victime des événements ou des autres. Il est important de comprendre que c'est toujours vous qui décidez de votre vie, quelle qu'elle soit. Même si vous êtes le dernier des subalternes sur votre lieu de travail, c'est vous qui êtes le directeur de votre vie. C'est vous qui êtes aux commandes. Vous êtes le maître de votre destin.
Et vous ne devez pas avoir peur: vous découvrirez que c'est précisément lorsque vous vous autorisez à choisir des actions qui sont en harmonie avec vous, qui respectent vos valeurs et expriment vos compétences, que vous devenez très précieux pour les autres.
Les portes s'ouvrent alors d'elles mêmes. Tout devient plus facile, et l'on n'a plus besoin de lutter pour avance.
Vous avez accompli un apprentissage majeur pour vous, en développant une capacité qui vous faisait cruellement défaut à ce jour : la capacité de faire un choix qui vous coûte, et donc de renoncer à quelque chose, autrement dit de faire des sacrifices pour avancer sur votre voie.
C'est désormais acquis, le dernier obstacle à votre épanouissement ayant ainsi volé en éclats. Vous disposez maintenant d'une force qui vous accompagnera toute votre vie. Le chemin qui mène au bonheur demande parfois de renoncer à la facilité, pour suivre les exigences de sa volonté au plus profond de soi.
Bonne route,
Je parvins au sommet épuisé, vidé de mon énergie, mais empli d'une satisfaction intense. J'avais réussi à surmonter ma paresse, à mobiliser mon courage et mes forces, à aller au bout de ma décision, et maintenant je me sentais tout-puissant, debout sur le mont Skouwo, tel un capitaine à la proue de son bateau, dominant des kilomètres de terres, de rizières et de forêts, le vent sifflant à mes oreilles, m'enivrant d'un parfum d'aventure.
Pour moi, une nouvelle vie commençait, et, dorénavant, ce serait ma vie, fruit de mes décisions, de mes choix, de ma volonté.
Adieu les doutes, les hésitations, les peurs d'être jugé, de ne pas être capable, de ne pas être aimé.
Je vivrai chaque instant en conscience, en accord avec moi-même et avec mes valeurs.
Je resterai altruiste, mais en gardant à l'esprit que le premier cadeau à faire aux autres est mon équilibre.
J'accepterai les difficultés comme des épreuves à passer, des cadeaux que m'offre la vie pour apprendre ce que je dois apprendre afin d'évoluer.
Je ne serai plus victime des événements, mais acteur d'un jeu dont les règles se découvrent au fur et à mesure, et dont la finalité gardera toujours une part de mystère.
Fabrice Deguy
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